Voyage de noces

Dans une auberge de Bourbon.

Nic était heureux que sa compagne accepte de rencontrer ses amis. Après tout, ce ne devait pas etre facile pour elle que de voir resurgir la passé de son époux. Il voulait tant la rendre heureuse et ne lui imposerait jamais rien !

Puis, elle lui dit de sa voix mielleuse avec un sourire malicieux.

Oui, que me proposes-tu ?! tu sais, je ne connais quasiment pas Bourbon...alors que toi...
Ou bien, tu as peut-être envie de rester ici ce soir ?!

Nic rougit légèrement à cette question, il n'avait qu'une envie, et elle devait le savoir ... Doucement il se mit à l'aise dans le lit et retira sa chemise ...

Hum, je trouve qu'il fait un peu chaud pour se promener ...
Et puis, tu sais, il n'y a pas grand chose à visiter par ici ... A part un lavoir et un verger !
Nous devrions surement rester ici ... et profiter de ce lit confortable ! A moins que tu ne préfères le tapis devant la cheminée ? A toi de choisir mon amour ...

Et Nic se jeta sur son épouse, l'embrassa follement, la déshabilla prestement et la caressa ardemment, voulant lui montrer combien il l'aimait passionnément ...

18 Aout 1455 en soirée.

Dans une auberge de Bourbon

Aiguemarine écouta son époux lui faire des propositions "indécentes"...
Cela tombait bien...elle n'avait pas trop envie de sortir ce soir, et voulait le plus possible profiter de moments seule avec son époux...

Hum, je trouve qu'il fait un peu chaud pour se promener ...
Et puis, tu sais, il n'y a pas grand chose à visiter par ici ... A part un lavoir et un verger !
Nous devrions surement rester ici ... et profiter de ce lit confortable ! A moins que tu ne préfères le tapis devant la cheminée ? A toi de choisir mon amour...

Aiguemarine ria de bon coeur à la proposition du tapis devant la cheminée...

Puis Nic se jeta littéralement sur elle. Complètement nue...elle se leva, enfila la chemise de son époux qui lui arrivait jusqu'aux genoux, l'embrassa et lui dit :

Laisse moi quelques minutes ! je descends voir l'aubergiste. Wink

Pieds nus et en tenue très légère, elle descendit et revint quelques minutes plus tard avec quelques nourritures... fromage, pain, fruits...de l'eau et de la bière pour son tendre époux...

Elle déposa le tout sur la table, tira d'un coup sec les rideaux de la fenètre de leur chambre et rejoignit son tendre époux...
La magnifique nuit s'ouvrait à eux...

Dans une auberge de Bourbon.

Après une nuit pleine de douceur, de tendresse, de passion et d'amour, les deux jeunes amoureux se réveillent étroitement enlacés, serrés l'un contre l'autre.
Lorsque Nic ouvre les yeux, son épouse somnole encore, et doucement il l'embrasse, tendrement il la serre plus encore contre lui. Puis, avec plein de douceur, il mordille l'oreille de sa tendre compagne pour la réveiller. Et ça fonctionne plutot bien, elle ouvre les yeux et lui sourit. Ils s'embrassent longuement avant de se lever ...

Tranquillement, Nic va faire couler un bon bain pour eux deux.
Et doucement, tranquillement, avec moultes caresses, les jeunes mariés se lavent mutuellement ... Ils s'habillent ensuite et quittent la taverne main dans la main.

Ils partent d'abord en direction de l'église pour se recueillir un peu avant d'aller chez Thib ...
Nic aime son épouse plus que tout au monde, il donnerait sa vie, vendrait son âme pour elle. Il n'a jamais autant aimé, ni jamais été aussi amoureux auparavant. Il a parfois si peur de la perdre ...

19 Aout 1455.

Invité(e) Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 16/04/2007

Coucou Aigue et Nic

Tout d'abord je m'excuse de vous prévenir si tard mais le temps m'a manqué !

J'ai enfin accouché de magnifiques jumeaux le 14 aout de l'an 1455 !

Voilà Manon et Natanaël font partie de notre vie maintenant et je dois dire que ce n'est pas de tout repos !

Mais Benji! et moi sommes vraiment heureux !

J'a iappris pour ta grossesse Aigue, et je ne peux que te féliciter, enfin vous féliciter !
C'est un grand changement qui vous attend mais c'est un formidable évènement !

Maintenant on va pouvoir créer une crèche à Montbrison avec toutes ces naissances et celle de Kory à venir aussi^^

En tout cas j'espère que tout se passe bien pour vous.

Benji! et moi vous embrassons très fort.

A bientôt

Milo et benji!

Dans une auberge de Bourbon...le 19 Août au soir

Aiguemarine et Nic avaient passés une excellente journée avec Thib.Sur le chemin du retour, Aiguemarine voulu s'arrêter chez le palefrenier auquel ils avaient confié leurs chevaux...

En caressant Altaïr, elle s'aperçut que son cheval avait besoin d'être ferré. Ils s'étaient donc arrêtés dans la taverne "le jardin du walhalla" afin de demander à Bebone s'il connaissait un maréchal-ferrand. Ce dernier lui avait parlée de Gav... Aiguemarine avait donc adressée missive à cette jeune femme. Elle espérait vraiment que celle-ci puisse faire quelque chose. Aiguemarine se voyait mal laisser son étalon dans cet état jusqu'à Moulins...

Ils arrivèrent enfin à l'auberge, montèrent dans leur chambre. Aiguemarine vit sur le bord de la fenètre une missive...
Elle l'ouvrit, et eût un grand sourire...
Des nouvelles de Montbrison...Enfin !! et celles-ci étaient de Milosa, sa filleule. Elle les informait qu'elle avait accouchée de jumeaux.

Aiguemarine était ravie de cette nouvelle. Certes, entre le tribunat et sa vie de famille, Milosa n'allait pas avoir le temps de s'ennuyer...
Mais Aiguemarine la savait organisée... et puis, elle espérait bien que le père Benji allait l'aider au maximum...

Elle tendit la missive à son adorable époux afin qu'il en prenne connaissance, l'embrassa tendrement, puis se servit un grand verre d'eau. La journée avait été forte en émotions...

Aiguemarine déboutonna lentement sa chemise, se massa doucement la nuque, s'allongea sur le lit et fit signe à son époux de la rejoindre...

Dans une auberge de Bourbon.

Après une bonne et belle journée en compagnie de Thib, les deux jeunes amoureux étaient rentrés à l'auberge, main dans la main, heureux comme au premier jour ! Même plus d'aileurs !
En route, Aigue avait trouvé une adresse pour le fer de son cheval ! Dans tous les cas, ils ne reprendraient certainement pas la route tant que ce ne serait pas arrangé, pas question de prendre des risques !

Et enfin, ils étaient rentrés à l'auberge, et avaient (encore) trouvé une missive.
Après l'avoir lue, Aigue la passa à son époux qui sourit. C'était Milo, elle avait accouché de jumeaux. Des jumeaux ?! Pourvu qu'Aigue ne porte pas 2 enfants ... ils ne s'en sortiraient jamais, avec toutes les retraites de Nic ...
Nic se calma vite, sa rassurant, c'était si rare les jumeaux !

Alors qu'Aigue s'allonge sur le lit, Nic la fait se mettre sur le ventre.
Autant qu'elle en profite tant qu'il n'est pas trop imposant (son ventre hein ! )!

Doucement, il enlève la chemise de sa belle et la masse doucement ...
La nuque d'abord, puis les épaules, doucement, délicatement. Avec prudence une descente dans le dos ... Puis, Nic retire les braies de sa belle et masse avec douceur ses fesses, puis ses jambes ... Enfin, ses petits pieds délicats.
Et avec amour il remonte, remplaçant le massage par de tendres baisers, jusque sa nuque ... Et là, après s'etre prestement déshabilé, il fait se retourner sa tendre compagne et l'embrasse avec passion !

Et avec une infinie tendresse, ils se donnent corps et âme l'un à l'autre. Dans une nuit calme et paisible, leurs deux corps s'agitent pour ne plus former qu'un, dans une harmonie et une osmose des sens et des coeurs.

Nuit du 19 Aout au 20 Aout 1455.

Dans une auberge de Bourbon...le 20 Août 1455

Aiguemarine avait passée une bonne nuit dans les bras de son époux.
Elle ouvrit doucement les yeux, le jour se levait à peine.

Aiguemarine n'était pas en forme. Quelque chose la travaillait ; elle ne savait pas quoi encore. Elle avait juste de mauvais pressentiments.

Elle embrassa son époux sur la joue, lui remonta le drap...et se leva.

Après sa toilette quotidienne, elle se dirigea machinalement vers la fenètre...scruta l'horizon...

Elle aperçut alors missive. Elle l'attrapa et se mit à la lire. Le forgeron que lui avait conseillé Bebone n'était pas disponible afin de ferrer Altaïr...
Cela n'arrangerait pas les affaires d'Aiguemarine. Ils devaient reprendre la route dès le lendemain !!
En revanche, le forgeron lui avait indiqué une autre personne...

Mais Aiguemarine n'avait pas le temps de s'en occuper. Elle laissa un mot à son doux époux afin qu'il puisse le faire à sa place, s'il avait le temps.

Citation :: Mon Amour,

Je file à la mairie voir si je puis trouver un travail pour la journée...
Mais je ne sais pas ce qu'il m'arrive ce jour. J'ai de mauvais pressentiments...
D'ailleurs, cela se confirme. Le forgeron dont m'avait parlé Bebone n'est pas disponible... en revanche, elle m'a laissée le nom d'une autre personne.

Si, entre tes différentes activités, tu trouvais le temps pour moi de contacter cette personne... je ne te remercierais jamais assez.
En effet, je ne souhaite pas différer notre départ.

Sinon, ne t'inquiète pas pour moi. Tout va bien aller. Il me tarde ce soir de te retrouver et de te serrer dans mes bras. Tu es ma vie, mon rayon de soleil... je t'aime plus que tout, et je me battrais sans relâche pour notre bonheur.

Je t'aime éperdûment.

Aiguemarine

Aiguemarine cacheta la missive, déposa un doux baiser sur celle-ci, puis alla la déposer sur l'oreiller, près de Nic...

Elle attrapa sa cape, et quitta la chambre.

Dans une auberge de Bourbon.

Doucement, Nic s'était levé. Une nouvelle fois, Aigue était partie tot.
Nic se lava un peu et s'habbila, lentement, doucement, perdud asnde douces pensées tournées vers sa tendre épouse. Puis, il avait lu la missive qu'elle lui avait laissée.

De mauvais pressentments ? Nic accordait une grande importance à tout ce que ressentait et préssentait son épouse. Elle avait un tres bon sixième sens.
Quoiqu'il en soit, il était confiant en ce moment et était sur que rien n'arriverait !
Ils étaient heureux, tout irait bien, tout s'arrangerait !

Nic allait (encore) étudier un peu aujourd'hui ! Mais avant, il écrivit une missive à l'intention du fameux forgeron. pourvu que celui-ci réponde favorablement !!
Puis, il prit la route de l'Université pour étudier de nouveau sa médecine. Peut-être que d'ici peu de temps il serait capable de s'occuper convenablement de son épouse enceinte, et éventuellement lui prodiguer quelques conseils de toute importance.
Mais, comme toujours, il avait peu avancé tant il pensait à sa douce !

Il rentra tranquillement à l'auberge, fort d'avoir reçu une réponse positive du forgeron.
C'était parfait sur ce point, les choses s'amélioraient donc !

Il s'assit sur le lit, puis s'allongea doucement et rêvasse à leur avenir, leur efant, mais surtout à sa douce épouse ... Dessinant ses sublimes courbes en pensées ...

20 Aout 1455.

Dans une auberge de Bourbon...le 20 Août 1455 au soir

Aiguemarine revenait d'une longue journée à travailler dans un champs. Sa colombe Plume n'était toujours pas revenue de Bourgogne... elle était inquiète pour Archie. Elle connaissait bien son amie, de part leurs tempéraments similaires.

Archie était gentille, mais tout comme Aiguemarine, très impulsive !! Aiguemarine savait que son amie était partie sur un coup de tête...tout comme Aiguemarine l'avait fait quelques mois plus tôt.

Les derniers mots d'Archie raisonnaient dans la mémoire d'Aiguemarine...

Je pars... je te fais signe dès que je m'installe...et je t'écris !

Certes, Aiguemarine avait confiance en son amie. Elle tenait toujours parole mais...cela faisait déjà plusieurs jours et aucune nouvelles, c'était... étrange, et cela ne lui ressemblait guère... d'habitude si expansive !!

Archie... où es-tu mon amie ?! murmurait Aiguemarine...

Les yeux embués de larmes, Aiguemarine poussa la porte de la chambre. Elle essuya ses yeux rougis, et vit son époux allongé, perdu dans ses pensées...

Elle arriva derrière lui, posa ses mains sur ses yeux et l'embrassa tendrement dans le cou. Essayant de cacher sa peine, elle lui dit :

Bonsoir mon Amour...
Si je te donne 1 écu, me dévoileras tu tes pensées ?!

Elle s'asseya à ses côtés...

Dans une auberge de Bourbon.

Nic rêvassait tranquillement quand deux jolies mains vinrent obstuer son champ de vision, un baiser venant faire frémir son cou. Ca ne pouvait etre qu'elle. Et il entendit sa douce compagne lui dire :

Bonsoir mon Amour...
Si je te donne 1 écu, me dévoileras tu tes pensées ?!

Il sourit doucement à cette diée saugrenue.

Bonsoir mon Ange.
Je te dévoilerai mes pensées sans même que tu doives me payer ni rien me promettre ...
Je dois t'avouer que, je pensais juste à toi, comme toujours ... Quoique cette fois, tu es entièrement nue ... et enduite d'un chocolat fort délicieux. Enfin, ce n'était qu'un reve !

Il se retourna, sourit à son épouse et l'embrassa ...
Mais il comprit vite que quelque chose n'allait pas. Ses yeux rougis, son air triste ... Elle essayait de le cacher, mais Nic connaissait de mieux en mieux sa chère épouse ... Et rien que de la voir dans cet état, il en avait mal au coeur ... Elle d'habitude si joyeuse, ça devait etre grave ...
Il la fit asseoir sur ses genoux et la calina quelques instants.

Mon ange ... Qu'est-ce qui ne va pas ... Je vois que tu es tres tracassée.
Tu veux en parler peut-être .. Je n'aime pas te voir comme ça, malheureuse ...

Nic était désemparé, espérant qu'il saurait la consoler, au moins un peu ...

20 Aout 1455.

Dans une auberge de Bourbon...le 20 Août 1455 au soir

Aiguemarine écouta son époux lui dévoiler ses pensées secrètes...

Bonsoir mon Ange.
Je te dévoilerai mes pensées sans même que tu doives me payer ni rien me promettre ...
Je dois t'avouer que, je pensais juste à toi, comme toujours ... Quoique cette fois, tu es entièrement nue ... et enduite d'un chocolat fort délicieux. Enfin, ce n'était qu'un reve !

Elle esquissa un sourire aux paroles de Nic...

Puis, il la prit sur ses genoux. Il avait senti son trouble. Aiguemarine se devait de lui dire, ne serais-ce que pour le rassurer.

Rassure toi mon Amour, je vais bien. Je suis très inquiète pour Archie. Tu te souviens d'Archie ?!... mon témoin à notre mariage. Elle a quittée la ville de Mâcon... à mon avis, sur un coup de tête...elle avait promis de me donner des nouvelles....mais les jours passent et rien. De plus, j'avais envoyée Plume lui porter missive, mais elle n'est toujours pas revenue...
Ce n'est pas dans ses habitudes...voilà ce qui me tracasse.

Puis Aiguemarine posa sa tête sur l'épaule de son époux... elle sentait la fatigue l'envahir doucement... tout doucement.

Dans une auberge de Bourbon.

Nic écoutait attentivement le pourquoi de cette tristesse, il était si inquiet. Et il semblait y avoir de quoi. Bien que l'ayant fort peu vue, Nic avait beaucoup apprécié l'amie d'Aigue. Fort gentille et généreuse, elle attirait de suite la sympathie.
Et voilà qu'elle avait disparu ! Pourtant, elle semblait tres débrouillarde ...

Nic caressa doucement le visage et les cheveux de son épouse lorsqu'elle posa sa tete sur son épaule.

Mon ange, je connais trop peu ton amie pour en dire grand chose. Mais en tout cas, je me souviens bien d'elle ! Si elle est aussi impulsive que tu me l'as dit, elle a dû effectivement partir sur un coup de tete.
Mais, dans ce cas, elle est en vadrouille, et nous aussi. Ce n'est pas facile pour vos pauvres pigeons de s'y retrouver. Si elle t'a envoyé missive, ce dont je ne doute pas, il faut le temps qu'elle te parvienne. Imagine que son pigeon ait pris la route de Montluçon.
Et pour Plume, il en va de même. Si elle a changé de vilage depuis la dernière fois, ton fidèle messager, qui la reconnaitra facilement, va la chercher un peu partout. Mais ça prend du temps, et il faut que ton pigeon s'abreuve et se nourrisse aussi ...

Allez, ne t'en fais pas, je suis sur qu'elle va bien et que tu auras tres bientot de ses nouvelles !

Nic sourit à son épouse et la calina encore longuement. Il espérait sincèrement que tout irait vite mieux. Il était lui aussi inquiet pour Archie ...
Puis, il l'aida à se déshabiler et à s'allonger.
Il en fit de même et se coucha pres d'elle. Il remonta le drap doucement et la serra tres fort contre lui, la cajeolant encore et encore. Il lui murmurait de tendres mots d'amour ...

Dors ma puce, tu en as besoin, je veille sur toi !

Et, pour la première fois depuis fort longtemps, les deux jeunes mariés passèrent une nuit calme ... Quoique perturbée par une grande tristesse émanant de la pièce entière ...

Nuit du 20 Aout au 21 Aout 1455.

Dans une auberge de Bourbon...le 21 Août 1455

Aiguemarine s'était endormie rapidement dans les bras de son époux. Elle avait trouvée le réconfort et une oreille attentive.

Elle se leva, et alla ouvrir la fenètre. Toujours pas de Plume à l'horizon, ni de nouvelles d'Aedes. Seraient'ils contraints de rester à Bourbon une journée de plus ?!

Si tel était le cas, Aiguemarine en profiterait pour bien se reposer. Peut-être que Nic étudierait près d'elle et n'irait pas à l'université aujourd'hui...

Elle s'approcha de lui, le regarda quelques instants dormir. Il était paisible et si beau. Aiguemarine avait vraiment de la chance.

Elle caressa doucement son ventre. Pour l'instant, rien ne laissait deviner sa grossesse.

Aiguemarine alla boire une tasse du remède de Sibille. Ces derniers jours, cela allait mieux...Moins de nausées, c'était déjà ça.

Puis, doucement, elle se glissa sous le drap auprès de son cher époux...

Je t'aime ! lui murmura t'elle avant de fermer les yeux doucement.

Dans une auberge de Bourbon.

Nic s'éveilait lentement, le soleil chatouillait son nez et ses paupières.
Il ouvrit doucement les yeux et vit que, miraculeusement, Aigue était encore à ses cotés.
Il l'emrbassa tendrement et resta près d'elle, surtout, il ne fallait pas la réveiller !

Quelques heures plus tard, vers midi, il se leva enfin.
Il se débarbouilla et s'habilla tranquillement, contemplant Aigue.

Il l'embrassa avant de filer. Mais il lui laissa un petit mot.

Nictail a écrit:: Bonjour Mon Amour.

Tu dormais si bien que je 'nai pas soé te réveiller.
J'ai quelques visites à passer à d'anciens amis.

Je te laisse t'occuper de ton cheval, et si je croise notre forgeron, je lui dis de venir ici.
Je rentre au plus vite, tu me manques déjà.

Prends soin de toi.
Tendres baisers.

Nic, ton époux qui t'adore.

Puis, après avoir offert un dernier baiser à son épouse, il quitte la chambre.
Il alla donc au cimétière puis passa prendre un livre de médecine à la Bibliothèque, il pourrait ainsi étudier sans quitter sa douce épouse, la parfaite solution !

Et il ne rentra pas trop tard, pressé de retrouver sa belle ...

21 Aout 1455.

Dans une auberge de Bourbon...le 21 Août 1455

Elle s'était bien reposée...peut-être même un peu trop !
Aiguemarine ouvrit les yeux. La chambre était vide. Elle se leva, trouva la missive de son époux...

Aiguemarine se dépêcha de s'habiller. Elle avait de multiples missives à envoyer. Aiguemarine avait hâte qu'ils reprennent la route. Mais Nic avait été intransigeant. Il ne repartiraient que lorsque le cheval d'Aiguemarine serrait correctement ferré...

Elle était en train de préparer missive pour Aedes quand elle vit un pigeon se poser. Aiguemarine s'approcha de la fenètre, ouvrit doucement celle-ci afin de ne pas faire fuir le volatile, décrocha le parchemin et le lut.

Citation :: Gente Dame,
votre époux Messire Nictail de Meyran m'a demandé de prendre contact avec vous pour un problème de fer à cheval. Que puis-je pour vous ?
Je suis forgeron débutant, mais je ferai tout mon possible pour vous venir en aide.
Respectueusement.
Aedes

C'était une réponse du forgeron. Aiguemarine était contente. Elle lui fit une missive aussitôt.
Ils pourraient quitter Bourbon dès le lendemain, si tout allait bien.

En attendant que Nic revienne, Aiguemarine commença à préparer tranquillement les bagages. De plus, ça lui évitait de trop penser à son amie Archie...

En fin d'après-midi, son époux était de retour. Ils passèrent un long moment ensemble à discuter de tout et de rien.

Puis le soir venu, après un bon repas à l'auberge, ils firent un petit tour en taverne. Aiguemarine était fière... son époux, un peu réticent à ce genre d'endroit, commençait à y prendre plaisir.

Ils se couchèrent et passèrent...une fois de plus...une douce et agréable nuit dans les bras l'un de l'autre.

Dans une auberge de Bourbon.

Après une douce nuit auprès de sa compagne, Nic se réveilla doucement ...
Comme toujours quand il était le premier à ouvrir els yeux, il ne bougea pas, et attendit le réveil naturel de son épouse. Ce qui ne tarda pas à arriver vu la repos qu'elle avait pris la veille.
Doucement, ils s'embrassèret et s'étreignirent, puis se levèrent pour de bon et s'habillèrent.

Nic savait que son épouse devait faire referrer son cheval, et il voulait la laisser traquille avec le forgeron. D'abord, elle se débrouillait tres bien en affaire, et ensuite, ça ne servait à rien d'amerner Blitz pour qu'il énerve Altait et ainsi compliquer le travail du Sieur Aedes !

Mon Ange, je vais te laisser aller voir Messire Aedes pour Altair.
Je te rejoindrai là-bas plus tard. Je ne voudrais pas que Blitz énerve Altair et dérange ton forgeron dans son travail. Ca serait embêtant qu'il se blesse !
Pendant ce temps, je vais me promerner et vagabonder un peu ...

Nic sourit doucement à son ange et l'emrbassa avec passion.
Puis, il sortirent tout deux, firent un bout de chemin en semble et se séparèrent à regret.

22 Aout 1455.

A Bourbon...le 22 Août 1455

Le rendez-vous avec le forgeron Aedes s'était déroulé comme prévu. Le travail fourni sur Altaïr était magnifique. L'animal ne boîtait plus.

Dans l'après-midi, Aiguemarine avait pris le temps d'écrire et d'envoyer une missive à Yvan à Mâcon.

Son époux, comme prévu, était venue la rejoindre à la forge. Ils avaient chahuté un peu, puis un dernier tour en taverne afin de saluer leurs amis et ils avaient repris leur chemin...direction Moulins.

Arrivée à Moulins.

Après une douce nuit de voyage, passée tranquille, en amoureux, les deux jeunes mariés arrivent enfin aux portes de Moulins. Doucement Aigue les présente aux gardes en faction et ils entrent ainsi doucement en ville, au bas de leurs montures, main dans la main.

Ils partent donc à la recherche d'une belle petite auberge où loger.
Puis, chacun de son coté, ils filent au travail, Aigue vers la mairie, Nic en direction de l'Université.

23 Aout 1455.

Dans une auberge de Moulins...le 23 Août 1455

Aiguemarine avait passée sa journée à travailler dans un champs.
En rentrant, elle avait retrouvée son doux époux à l'auberge. Après un bon bain chaud, ils étaient sortis, main dans la main faire un tour dans la ville de Moulins.

Ils s'étaient arrêtés dans une taverne, et y avaient rencontré le maire...un homme très courtois et gentil.
Aiguemarine en avait profité pour parler affaires, et avait obtenue satisfaction. L'échange était, plus ou moins prévu, pour le lendemain.

Puis, la fatigue se faisant sentir, ils étaient rentrés, toujours enlacés à l'auberge.

Le jeune couple, un peu fatigué (enfin, surtout Aiguemarine) s'était vite endormi...toujours dans les bras l'un de l'autre.

Dans une auberge de Moulins.

Au petit matin, le soleil filtrait par la fenêtre, il était encore tot, mais il fallait se lever.
En effet, Aigue avait rendez-vous dans la matinée avec le Maire de Moulins. Ils avaient un échange commercial à conclure et il ne fallait pas qu'elle soit en retard.
Nic souffla alors dans le cou de son Amour pour la réveiller et l'embrassa tendrement sur les lèvres. Il lui sourit avec douceur lorsqu'elle ouvrit les yeux.

Bonjour mon Ange !
Tu dormais si bien, mais je devais te réveiller, je suis désolé mon Ange. Il faut que tu te prépares pour aller voir le Maire. Et il faut donc que tu sois bien réveillée !

Nic sourit à son ange et lui apporte le petit-déjeuner au lit.
Il suivait ses propres conseils à la lettre ... Et doucement, il l'aida à se débarbouiller et à s'habiller ... Il faisait tout pour lui simplifier la vie, il espérait vraiment que ça l'aiderait ...

Allez, il va etre l'heure ... Je suppose que tu iras travailler après ...
On se revoit ce soir donc ... Je vais continuer à étudier à l'Université, comme toujours.
Je t'aime tant, si tu savais ... Tu es tout pour moi, je donnerais ma vie pour sauver la tienne ...

Nic embrasse tendrement son Ange et la laisse filer ... à regret !

Puis, il se prépare tranquillement et prend la route des études ...
Il faudra qu'il pense à aller acheter un bouquet pour sa belle, ça lui fera plaisir !

24 Aout 1455.

Dans une auberge de Moulins...le 24 Août 1455 au soir

Aiguemarine avait été réveillée très tendrement par son adorable époux. Il était toujours au petits soins pour elle.
Elle l'aimait plus que tout. Et la plus belle preuve qu'elle pouvait lui donner... c'était cet enfant tant attendu.

Elle fila vite à son rendez-vous, puis prit un travail à la mairie. Mais cette fois, elle se dépêcha de rentrer avant son époux...
Aiguemarine avait envie de lui faire une surprise.

Un peu plus tôt dans la matinée,elle s'était arrêtée sur le marché, et avait achetée quelques produits. De retour, dans la chambre, elle prépara un panier, quelques couvertures.

Aiguemarine avait envie de l'emmener pique-niquer à l'extérieur de Moulins et de dormir à la belle étoile.
La veille, elle avait repérée un endroit sympathique, ni trop proche, ni trop loin de la ville.

Son époux rentra enfin...

Elle lui sauta au cou et l'embrassa tendrement et longuement.

Puis, Aiguemarine lui dit :

Hum...mon Amour, que dirais tu d'un pique-nique à l'extérieur de Moulins, et de par ce beau temps, de dormir à la belle étoile ?!
Cela nous changera un peu des auberges...
Prenons nos montures... et filons avant que la nuit ne tombe.

Elle le regardait tendrement, attentive à sa réponse...

Dans une auberge de Moulins.

Après une longue journée d'études à penser à sa tendre épouse, Nic rente enfin à l'auberge, un bouquet de fleurs caché dans son dos. Mais à peine a-t-il ouvert la porte que son épouse lui saute au cou, l'embrasse et lui fait une proposition des plus charmantes.

Hum...mon Amour, que dirais tu d'un pique-nique à l'extérieur de Moulins, et de par ce beau temps, de dormir à la belle étoile ?!
Cela nous changera un peu des auberges...
Prenons nos montures... et filons avant que la nuit ne tombe.

Nic lui sourit avec amour et l'embrasse de nouveau !

Hum, je dirais que je suis ravi ... Mais avant, laisse-moi t'offrir quelque chose !

Nic lui tend alors doucement le bouquet, avec un sourire !

Je vois que tout est déjà pret ! On file ... Allez, vite vite !
J'ai hate qu'on soit enfin tous les deux, seuls et tranquilles !

Il embrasse alors passionnément sa tendre épouse et la laisse prendre la panier et les couvertures.
Puis, il la prend dans ses bras et la porte jusque leurs montures.
Ils enfourchent rapidement leurs destriers et filent tranquillement vers un coin découvert par Aigue. Nic suit donc gentiment sa compagne, ne voulant pas la perdre.
Il l'aime tant et ne veut que la rendre heureux ... Il sera toujours aux petits soins avec elle, puis avec leur enfant. Leur bien est tout ce qui lui importe !

24 Aout 1455.

Dans une auberge de Moulins...le 24 Août 1455 au soir

Il était d'accord...mais elle n'en avait jamais doûtée. Nic cachait derrière son dos quelque chose. Puis, il lui offrit un joli bouquet de fleurs.

Elle l'embrassa passionnément, mis le bouquet dans un vase et ils se mirent en route. Nic l'avait portée jusqu'à sa monture...

Ils sortirent de Moulins, en direction de Bourbon...

Puis, arrivèrent enfin à destination. De là où ils se trouvaient, ils surplombaient la ville.

Les jeunes mariés attachèrent leurs montures à un arbre et s'installèrent sous un grand chène...

Elle installa une couverture au sol, tendit la main à son époux pour qu'il la rejoigne...
Ils contemplèrent longuement la vue magnifique...puis se mirent à manger, se dévorant des yeux longuement.

Aiguemarine approcha sa bouche de l'oreille de son époux et lui murmura :

Je t'aime...

Puis, elle lui prit sa main et la porta sur son ventre...

Bon, pour l'instant, on ne se rend pas encore bien compte... mais lui, ou elle est bien là. Je suis sûre que tu seras un magnifique père. C'est le cadeau que je t'offre mon Amour, afin que tu puisses mesurer combien je t'aime.

Elle se blottit dans ses bras doucement... l'embrassa avec passion. Aucun homme ne l'avait jamais rendue aussi heureuse que Nic.

Sur les hauteurs de Moulins.

Doucement, les amoureux étaient partis à l'extérieur de Moulins. Ils surplombaient le village qui s'éteignait doucement avant de s'endormir. Après s'etre installés, ils contemplèrent longuement la belle vue, Aigue savait vraiment bien choisir les endroits où aller.
Puis, il se dévorèrent des yeux et grignotèrent quelques provisions ...
Ils s'aimaient tant !!

Alors qu'ele lui faisait mettre la main sur son ventre, elle lui dit :

Bon, pour l'instant, on ne se rend pas encore bien compte... mais lui, ou elle est bien là. Je suis sûre que tu seras un magnifique père. C'est le cadeau que je t'offre mon Amour, afin que tu puisses mesurer combien je t'aime.

Nic ne savait que répondre, il était tres ému et touché ... Un cadeau de cette ampleur ne pouvait que lui faire comprendre qu'elle l'aimait plus que tout, mais il le savait déjà ...
Tendrement, il l'embrassa puis lui enleva sa chemise pour embrasser avec douceur son ventre.

Mon Ange, je ... Je t'aime tellement, si tu savais. Mais je ne porte pas de bébé que je puisse t'offrir pour te le montrer. Nic sourit doucement. En revanche, je te promets de toujours veiller sur vous et de prendre toujours soin de vous. Vous êtes ce que j'ai de plus précieux au monde, vous êtes plus que tout pour moi !

Nic essuya doucement les larmes qui coulaient sur ses joues et sourit à sa douce épouse. Il l'embrassa follement et ils s'allongèrent sur la couverture.
Il lui murmura de tendres mots d'amour au creux de l'oreille et finit de la déshabiller. Et avec amour, elle s'occupa de ses vêtements ... avant qu'ils ne profitent de leur nuit en amoureux ... (Ca vous manquait les curieux, hein ?!)

Nuit du 24 Aout au 25 Aout 1455.

Sur les hauteurs de Moulins...le 25 Août au matin

Cette nuit passée à la belle étoile avait été douce et magique. Aiguemarine se sentait "revivre" au simple contact de la nature.
Peut-être étais-ce dû au fait qu'elle avait longuement voyagée 1 an plus tôt...à parcourir le royaume de long en large avant de revenir s'installer en Bourgogne, plus précisément à Mâcon.

Mâcon...si proche et à la fois si "loin" des terres d'Autrey, là où elle vit le jour...
Cette terre lui avait tout donné, mais également beaucoup pris...
Aiguemarine appréciait y retourner... mais elle ne se sentait plus vraiment chez elle ! Le Bourbonnais l'avait "recueillie", adoptée... elle ne se voyait plus quitter ce dûché.

Mais, quoi qu'il en soit, elle y emmènerait son époux un jour. Elle aimerait tant lui faire découvrir la richesse de ces habitants, de cette terre... qui malgré tout restait sa terre de "coeur"...

Aiguemarine, bien emmitouflée dans la couverture et les bras de son époux se réveilla doucement.
Elle le contempla quelques minutes, lui caressant doucement le visage afin de le réveiller. Il était temps de ranger leurs affaires et de revenir au village.

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